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Les bonnes pratiques

  • Valoriser les bonnes actions du chien. Elles doivent être félicitées. De cette manière, le chien apprend à les reproduire.

  • Laisser au chien le temps d’assimiler le vocabulaire verbal ou gestuel humain.

  • Ignorer ou rediriger les mauvaises actions du chien. Il peut s’agir d’apprendre un comportement de remplacement. Par exemple, un chien qui saute, apprendra au contraire à s’asseoir.

  • Un bon comportement doit être construit grâce à l’utilisation d’une motivation (friandises, jouets, félicitations, caresses...). Cette motivation doit être équivalente à la difficulté de l’ordre demandé. Par exemple, durant l’apprentissage de la marche en laisse détendue qui demande beaucoup de concentration, le chien doit être largement récompensé pour aimer rester proche de l’humain. On va alors utiliser ce qu’il préfère, il peut s’agir d’une friandise appétente, de son jouet favori, d’une caresse accompagnée d’une voie enjouée.

  • Une relation maitre/chien a besoin d’être basée sur la confiance. Un chien doit pouvoir compter sur son maitre, et pour y arriver, il ne doit pas subir de réprimande. Un mauvais comportement est systématiquement soit ignoré, soit redirigé, c'est-à-dire remplacé.

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L’objectif est d’apprendre un cadre et des limites au chien, car il a besoin de se sentir rassuré durant son apprentissage.

 

L’éducation positive n’est absolument pas synonyme de permissivité.

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